Mutations sociétales et transformations numériques
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Le cash back a besoin d’évangélisation

D’après un sondage du Journal du Net paru aujourd’hui, et portant sur 1327 répondants (qu’on peut, en outre, sans doute considérer comme des internautes « plus que » moyens), 63 % d’entre eux déclarent ignorer ce qu’est le cash back.

Ayant passé quelques années à prêcher auprès des membres, à une lointaine époque où le terme n’apparaissait même pas sur la home du site précurseur du système en France (ebuyclub) et était souvent ignorédes membres eux-mêmes, j’en conclus qu’il reste encore du pain sur la planche !

Le cash back, kezako ?

C’est la botte secrète de tout e-acheteur avisé qui se respecte. Le pouvoir d’achat de la ménagère de moins de 50 ans. Le cadeau-bonus du petit dernier. L’assouplisseur de carte bleue des aficionados de mode et de fringues. La 5ème semaine des voyageurs – week-endistes. Le ptit soulier du Père Noël des boulimiques de DVD ou de bouquins. La revanche sur le marketing des geeks et des fans de tuning high tech.

Le cash back, c’est simple, c’est le contraire de vos impôts : c’est de l’argent gagné chaque fois que vous en dépensez.

Où est le piège caché ?

Il n’y en pas. Ni arnaque, ni baguette magique, ni recette infaillible pour devenir riche en dormant en 10 leçons. Juste une petite astuce à connaître si l’on achète parfois en ligne.

Un site de cash back est un intermédiaire, qui référence des marchands. Plein de marchands. Tous les indispensables (ceux que vous connaissez tous), et même plus.

Or chaque fois qu’un internaute clique sur un site intermédiaire pour aller faire un achat chez un marchand (ou parfois s’inscrire ou pour une simple visite), le marchand verse une commission à cet intermédiaire, qui a été « apporteur d’affaires ».

Mais contrairement à tous les autres intermédiaires du Web, bien plus radins (comme les comparateurs de prix), le site de cash back VOUS reverse une partie de cette commission. D’environ la moitié (chez Cashstore, eBuyClub, iGraal …) à la totalité (moyennant abonnement, chez Fabuleos, le dernier en date), soit en général 1 à 15% de votre achat.

L’argent est cumulé sur votre compte membre, jusqu’à un seuil d’encaissement. La seule contrainte, incontournable pour s’éviter toute désillusion, est de bien passer par le site de cash back, en tout dernier intermédiaire avant votre achat.

N’y voyez pas un moyen de faire fortune,ce n’est que du bonus, mais toujours bienvenu sur des achats que vous auriez de toute façon effectués.

Où est-ce qu’on signe ?

Voici une liste de cash backeurs français :
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Un petit sondage : si vous vous êtes inscrit, lequel avez-vous choisi ?

Billet NON sponsorisé, garanti 100% bio et naturel, sans tag affilié ni lien de parrainage ;)

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2 commentaires sur “Le cash back a besoin d’évangélisation”